les ARCHIVES
du Secteur Pastoral Rivière-Basse
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La
RENCONTRE de l'HOSPITALITE Ste BERNADETTE du 10 octobre 2010 à
NOGARO puis à BOURROUILLAN |
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Début de
la journée par la célébration
eucharistique en l'église de NOGARO avec la
communauté paroissiale suivie du verre de l'amitié
avec les chrétiens du secteur |
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Au
cours de la célébration, ont témoigné
une jeune hospitalière et l'enfant qui a joué
le rôle de Jésus lors du chemin de croix
du pélerinage 2010. Christian RASSIS présentait
également l'association. |
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Les membres de l'Hospitalité
Sainte Bernadette se retrouvaient ensuite tous à
la salle des fêtes du village de BOURROUILLAN pour
la prise du repas. |
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A
l'issue d'un repas dégusté longement, tout
le monde s'est empressé de se mettre en place pour
une réunion de travail qui avait pour objectif
de dessiner ensemble les grandes lignes du pélerinage
2011. Après plusieurs informations distillées
par le président, était présentés
les résultats des 120 réponses aux 340 questionnaires
envoyés aux Malades et aux Hospitalier(e)s. Le
nombre croissant de réponses et de commentaires
à ces questionnaires d'après pélerinage
démontre la vitalité et l'implication de
tous les membres. Une comparaison avec les réponses
de 2009 permettait de voir le niveau de réalisation
des voeux suggérés pour une amélioration
de l'accompagnement des "blessés de la vie"
et du déroulement de leurs pélerinages.
3 ateliers étaient ensuite organisés pour
préciser les mesures à prendre en répondant
à 3 questions: 1-Comment puis-je améliorer
mon intervention d'Hospitalier(re) pour mieux accompagner
les Malades ou Handicapés pendant le pélé?
2-Quelles améliorations pouvons-nous apporter au
contenu du pélé? 3-Quelle réflexion
et quelle action pouvons-nous mener dans chacun de nos
secteurs paroissiaux pour recruter de nouveaux hospitaliers,
sensibiliser les jeunes et les familles?
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Carrefour n° 1 - Pour mieux accompagner les
"blessés de la vie", pour être
plus disponibles et moins stressés, les Hospitalier(e)s
anciens et nouveaux devraient connaître le déroulement
de leur mission de service et se connaître,
beaucoup mieux et avant le pélerinage. Pour
ce faire, ils doivent commencer par bien remplir les
bulletins de participation et donner des éléments
sur leur profil, leurs capacités, leurs souhaits,
voire leurs photos pour réaliser un trombinoscope.
Il faudrait redistribuer le livret de l'Hospitalier
qui peut être très utile, notamment pour
les nouveaux Hospitalier(e)s. La constitution des
chambres, les rôles de chacun et les plannings
des gardes de jour et de nuit...etc... devraient être
effectués avant l'arrivée à Lourdes
pour le pélé. Semble nécessaire
aussi une formation pour les nouveaux et anciens Hospitalier(e)s
(piqûre de rappel) en matière de manipulation
des malades et de tirage des voiturettes. Ceux et
celles qui ne peuvent tracter ou pousser, sont invités
à être présents malgré
tout pour accompagner, rassurer, lors des transferts.
Rappel d'une mission de service et non d'un pélé
perso aux Hospitalier(e)s. |
Carrefour n° 2 - Les résultats de l'enquête
font apparaître une grande satisfaction sur
le déroulement du pélé 2010,
notamment le temps de convivialité avec les
personnes du pélérinage diocésain
et la présence d'un lit-douche à l'Accueil
Notre-Dame. Par contre, quand les malades arrivent
dans les chambres, la présence de la responsable
de chambre est impérative. L'utilisation d'un
élévateur pour les manutentions serait
souhaitée. Il faut absolument améliorer
la communication. Même si ce qui a été
fait à la prairie a été apprécié,
les problèmes de passage aux piscines sont
regrettables. La préparation d'une célébration
pénitentielle a manqué. La chapelle
St Joseph serait mieux adaptée aux diverses
célébrations et animations. Dommage
aussi que le groupe des jeunes n'ait pas animé
le départ. Il a été noté
une certaine légèreté chez quelques
Hospitalières dans leur rôle de service
auprès des malades. |
Carrefour n° 3 - Dans chaque secteur, il y a
des responsables de secteur, souvent non connus; il
faudrait peut-être un "référent
du recrutement". Le recrutement passe d'abord
par des rencontres de chaque Hospitalier(e). On peut
aussi le faire connaître par des affiches, des
témoignages et des annonces répétées
lors de messes, dans les journaux paroissiaux, à
Radio Présence et sur les sites internet. Il
ne faut pas penser qu'à recruter des jeunes
mais aussi des personnes dans la tranche "30-40
ans". Une fiche d'inscription plus détaillée
est souhaitable mais surtout un accompagnement du
nouveau Hospitalier avec des renseignements sur le
rôle de l'Hospitalier(e), une fiche de poste
et un plan des lieux. |
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Le
DIMANCHE 9 MAI 2010,
à LECTOURE,
les Hospitaliers du secteur de la LOMAGNE accueillaient la JOURNEE
DIOCESAINE de la FRATERNITE des PERSONNES MALADES ou HANDICAPEES
et de l'HOSPITALITE Ste BERNADETTE, une rencontre
de partage dans l'amitié et dans la joie. Après
une petite restauration chez les Soeurs de la Providence, plus
de 250 hospitaliers et malades du diocèse étaient
accueillis par l'Abbé Marc DERREY à la cathédrale
pour la messe présidée par Mgr Maurice GARDES. Ensuite,
tout le monde se retrouvait sous la Halle polyvalente pour le
repas et une animation musicale. Cette journée s'inscrit
bien dans l'objet de ce mouvement d'Eglise qui accompagne spirituellement,
matériellement et moralement des personnes malades et trouve
son aboutissement au pélerinage à LOURDES. |
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Comme
tous les ans, les 21, 22, 23 et 24 août, avait lieu
le pélerinage des Personnes
Malades
et Handicapées
à
LOURDES
dans le cadre
du Service de l'
HOSPITALITE SAINTE
BERNADETTE
d'AUCH dont la mission consiste dans l'accompagnement
moral, matériel et spirituel des malades et handicapés.
Il s'agit concrètement de leur apporter une assistance
physique, une aide aux tâches matérielles
diverses, aux soins et au repas, une écoute, un
échange et des animations. Le pélerinage
de l'Hospitalité à LOURDES est en quelque
sorte l'aboutissement de cette mission. A partir de 18
ans, on |
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peut
devenir "Hospitalière" ou "Hospitalier"
sur la base du volontariat. Ce service attire beaucoup de
personnes, notamment des jeunes gens et des jeunes retraités.
Il faut avouer que la relation avec les personnes malades
et/ou handicapées est extraordinaire et très
enrichissante. Un merveilleux état d'esprit règne
dans ces équipes de bénévoles qui donnent
beaucoup dans les nombreuses tâches à assurer
mais qui reçoivent en retour énormément
des personnes dont elles s'occupent. |
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Tout
se passe dans les superbes locaux d'ACCUEIL
NOTRE DAME qui se trouve le long du Gave,
près de la basilique et où tout a été
très bien conçu pour l'accueil de personnes
malades ou handicapées: chambres de
6 lits fonctionnelles équipées de 2 WC et
de 2 douches et réparties judicieusemenet en fer
à cheval autour d'un bureau, d'une infirmerie, d'une
tisanerie, d'une salle à manger et autres
pièces techniques. Si nécessaire, des chariots
sont stockés au rez-de-chaussée pour les différentes
sorties dans le sanctuaire ou dans la ville. |
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Tout
le monde est prêt à quitter la chambre |
Excellente
ambiance entre Hospitaliers à la tisanerie |
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Promenade
en ville pour achat de souvenirs |
Procession
des lumières avec une Vierge lourde... |
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Célébrations
animées par un groupe de jeunes |
Nombreux
déplacements avec ou sans soleil |
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Tous
les dimanches matin, de 10h55 à 11h50, une messe
est diffusée en direct sur la chaîne publique
France 2. L'émission "Le
Jour du Seigneur" a pour mission
d'annoncer l'Evangile à la télévision.
Cette émission permet notamment à plusieurs
centaines de milliers de personnes plus ou moins immobilisées
chez elles de rester en communion avec l'Eglise. |
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Dans
le cadre du 32ème festival Jazz in Marciac, la messe
du dimanche 2 août 2009 en l'église de MARCIAC
a été diffusée en direct sur France
2 pour l'émission dominicale "Le
Jour du Seigneur".
L'investissement des autorités locales, des organisateurs
du festival et de la communauté paroissiale de Marciac
se voyait récompensé par le succès
de cet évènement. Des personnes du secteur
pastoral de la Rivière-Basse sont venus aider la
chorale paroissiale locale pour l'animation de cette messe
télévisée. Le
quatuor gospel "The Sensational Nigthingles" participait
également à cette célébration.
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Une
équipe d'une trentaine de professionnels représentant
une quinzaine de métiers, avec l'aide de 3 énormes
camions techniques de France
Télévisions, a installé un matériel
impressionnant dans l'église de Marciac, superbement
mise en valeur par de savants éclairages .
L'imposant lustre a été remonté de
1m80 pour faciliter les prises de vue. Une émission
de télévision en direct ne supportant aucune
improvisation, plusieurs
répétitions de la célébration
eurent lieu avec l'ensemble de ses acteurs le samedi 1
août, de 14h à 18h, et le dimanche matin.
Le déroulement très détaillé
de cette messe qui devait durer 55 minutes était
écrit sur un document de 33 pages. Les principaux
acteurs de cette célébration se retrouvaient
le dimanche matin à 9h30 pour une dernière
répétition. L'assemblée était
invité à se présenter dans l'église
à partir de 10h. Vers 10h30, des instructions était
données à tout le monde sur le comportement
à avoir devant les caméras pendant la messe. |
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des
cadreurs... |
une
scripte... |
des
techniciens du son et de la lumière... |
et
de longues attentes pour le quatuor gospel, la chorale,
les prêtres et servants d'autel lors des répétitions. |
Après
cette minutieuse préparation effectuée dans
la bonne humeur grâce à la compétence
et à l'amabilité de ces professionnels, la
cérémonie eucharistique pouvait commencer
en direct à 11h. C'est ainsi qu'en ce dimanche 2
août 2009 la communauté paroissiale de Marciac
accueillait non seulement les festivaliers présents
dans la bastide gersoise mais se mettait aussi au service
de plusieurs centaines de milliers de croyants de France,"invisibles
mais réels",devant leur télévision. |
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Charles
FERRAN, curé de la paroisse, et Père
Robert Scholtus, supérieur du séminaire
de l'Institut catholique de Paris, présidaient
la cérémonie dominicale. |
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Chants,
musique et lectures animaient cette inhabituelle célébration
eucharistique en l'église Notre-Dame de l'Assomption
de Marciac qui se terminait par un rassemblement festif
dans son choeur, autour du quatuor gospel. |
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Les
26,27 et 28 octobre 2007,
le diocèse d'AUCH participait bien sûr à
Ecclésia
2007 à LOURDES,
rassemblement de plus de 7000 jeunes et adultes de l'Eglise
de France pour revoir |
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comment
les chrétiens français doivent faire passer
leur message de paix, d'amour et de respect de l'autre.
Les participants ont beaucoup aimé cette Eglise
prête à bousculer ses habitudes et à
se remettre en cause, prête à s'adresser
à un monde tel qu'il est et non tel qu'elle voudrait
qu'il soit. Tous ont découvert ce que représentait
une foule de 7000 personnes enthousiastes (impressionnant!),
ont apprécié l'organisation et les moyens
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utilisés
pour un tel rassemblement (sièges/sacs à
dos, vidéos, jeux scéniques, forums, interventions,
témoignages, échanges...) |
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13
MARS 2010 - CONFERENCE/DEBAT sur la COMMUNICATION |
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Le secteur pastoral
de la Rivière-Basse qui comprend les paroisses de Marciac,
Plaisance et Riscle, a organisé une conférence/débat
le samedi 13 mars 2010 à la Tour de TERMES d'Armagnac sur
le thème de la Communication. Animée par Christian
QUANDALLE, la soirée comprenait trois interventions suivies
de débat, celle de Mathias TERRIER, journaliste au Service
Multimédia à LOURDES, celle de Gérard CROZAT,
rédacteur du Bulletin du diocése de TARBES/LOURDES
puis celles de l'abbé Charles FERRAN et Jean SAINT-JOANIS,
représentant les publications du secteur comme "Entre
Fleuve et Rivière". Devant un public d'une centaine
de personnes, ont été passés en revue les
moyens de communication, d'hier et d'aujourd'hui, ses merveilleuses
possibilités mais aussi ses dangers. |
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Dans cet environnement
médiatique d'aujourd'hui, l'objectif de la conférence/débat
était ensuite de faire l'état des lieux de la Communication
dans l'Eglise pour y apporter les améliorations nécessaires
et pour rechercher des pistes concrètes d'actions au niveau
du diocèse et du secteur pastoral de la Rivière-Basse.
De nombreuses questions se posent en effet... Ne faut-il pas mieux
comprendre les aspirations et interrogations essentielles de nos
contemporains, notamment les jeunes, pour mieux communiquer l'Espérance
chrétienne dans un monde qui a oublié Dieu ? Que
faut-il faire pour utiliser un langage compréhensible par
le plus grand nombre afin de souligner la pertinence du message
chrétien pour bâtir un monde meilleur ? Pour que
l'Eglise soit plus visible et plus lisible, doit-elle communiquer
avec les mêmes méthodes employées habituellement
dans les entreprises et services commerciaux ? Même si la
première Communication reste le Témoignage, il faut
pour les chrétiens une plus grande volonté "d'aller
vers les autres" et de ne pas seulement se contenter d'accueillir.
Le mot "Evangélisation" est remis au goût
du jour dans une société contemporaine sécularisée
et en perte de sens. Il faudrait peut-être sortir des formes
d'expression religieuses habituelles et des schèmas de
Communication hérités des siècles passés.
L'Eglise a donné un nouvel élan à l'évangélisation
et des initiatives ont été prises sur le terrain
mais encore faut-il le faire savoir. Dans le secteur de la Rivière-Basse,
on note un désir de Communication mais une difficulté
à mobiliser ne serait-ce que pour élargir la distribution
de "Entre Fleuve et Rivières". Espérons
des suites concrètes à cette conférence/débat
! |
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En guise de mi-temps humoristique,
André BONNEAU proposait des sketchs en gascon. Francis
MASSEY présentait le futur site du secteur pastoral.
Le verre de l'amitié ponctuait cette conférence. |
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...l'action
des Associations HAÏTICOEUR et HAÏTIMOUN après
le séisme de HAÏTI |
Christian QUANDALLE, notre
animateur de la Conférence/débat sur la Communication
du 13 mars 2010 à Termes, nous fait un compte-rendu
de la situation à PORT-AU-PRINCE suite à son
séjour du 29 avril au 4 mai 2010. |
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Christian Quandalle à Termes |
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Christian Quandalle à Port-au-Prince |
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Pour
en savoir plus, clicquer sur les trois photos ci-dessus... |
Un vrai projet en Haïti…dans
la durée |
Depuis le séisme du 12 janvier 2010, de nombreuses actions
ont été mises en place pour aider le peuple haïtien.
Dans le Gers, une association de parents adoptifs d’enfants
haïtiens, Haïtimoun, avec deux associations équivalentes
de l’est, Haïticoeur, et du nord, Don d’Amour
et d’Espoir, a mené des actions pour aider un orphelinat
de Port au Prince, Don d’Amour (DDA).
Au delà des actions d’urgence comme l’envoi
de médicaments, de lait et autres couches, ces associations
ont décidé d’œuvrer pour le moyen et
le long terme en aidant un nouveau projet de DDA.
Ce nouveau projet incluant le développement agricole, par
les cultures maraîchères et les petits élevages,
a retenu mon attention, et je rentre d’un séjour
d’une semaine avec Christian Quandalle de Haïtimoun,
et Daniel Houot de Haïticoeur, où nous avons envisagé
l’avenir avec Gina et Claude Clodomir, les responsables
de Don d’Amour, et programmé notre accompagnement
humanitaire. |
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Le séisme |
Je ne pense pas utile de revenir sur les suites
du séisme, dont vous avez vu pas mal d’images et
de reportages…
J’insisterai plutôt sur ce qu’on voit 4 mois
après le drame, dans les rues de Port au Prince et de ses
environs…ce qui reste toujours traumatisant, certes, mais
plein d’enseignements sur nos conditions d’européens
…
La ville n’est qu’une succession de bâtiments
écroulés, alternant avec des bâtiments sans
dégâts (probablement que le dosage du ciment lors
de la fabrication du béton a été respectée
pour eux…pratiquement tous les bâtiments officiels
sont détruits… !!!), de camps de tentes, de tas de
gravats que les habitants ont sorti sur les trottoirs, afin d’installer
des tentes dans les cours, et sur lesquels des échoppes
ont été installées… mais la vie reprend
dans ces conditions chaotiques, avec la dignité légendaire
du peuple haïtien, qui réagit de façon positive
face à tous ses malheurs…et cela donne encore une
fois beaucoup à réfléchir.. !!!
Aucune reconstruction n’est démarrée, et même
pas de déblaiement ; je n’ai vu aucune pelleteuse
fonctionner… ; beaucoup d’ONG oeuvrent, l’ONU
en premier, mais la remise en route sera très longue et
difficile à se généraliser, après
avoir géré l’urgence… |
Don d’Amour |
Cette fondation , mise en place il y a une quinzaine
d’année par Anne Marie Dolce, mère de Gina
Clodomir, est maintenant dirigée par Gina et son mari Claude,
revenus œuvrer pour leur pays, après avoir travaillé
une vingtaine d’années à Porto Rico et aux
Etats Unis, dans la banque et l’industrie.
Jusqu’au séisme, le but principal de DDA était
de recueillir des enfants abandonnés par leurs parents,
de les soigner, et de mettre en place un processus d’adoption,
en accord , le plus souvent, avec leurs parents biologiques ;
environ 500 enfants ont ainsi été placés
en France que Gina et Claude essaient de visiter chaque année
lors de grands piques niques régionaux, réalisés
en juillet par les associations telles que Haïtimoun ou Haïticoeur….
Ces enfants étaient accueillis dans 3 crèches,
réparties dans Port au Prince et sa banlieue, et encadrés
par des nounous et autres institutrices de maternelle etc.
Lors du séisme, une centaine d’enfants résidaient
dans les crèches, dont 2 sont maintenant à démolir,
et l’une, la crèche de Jacquet, proche de l’habitation
de Gina et Claude, doit être consolidée.
Les enfants, tous sains et saufs, ont été regroupés
sous des tentes installées dans la cour de la crèche
de Jacquet, et 80 d’entre eux, dont le dossier d’adoption
était bien avancé, ont pu rejoindre leur famille
adoptive.
Faute de logement décent et sûr, pour l’instant,
Gina ne veut pas accueillir de nouveaux enfants abandonnés
(l’UNICEF de son coté en a déjà pris
en charge plus de 1000, dont les parents ont péri sous
les décombres…), et Gina s’occupe des 21
derniers, en attendant de mettre en place la structure de son
nouveau projet. |
Le projet de Don d’Amour |
Ce nouveau projet, auquel Gina et Claude Clodomir
pensaient déjà avant le séisme, consiste
à recueillir les enfants abandonnés, en faisant
en sorte que la majorité puisse rester en Haïti, en
leur donnant un minimum de formation de base (agriculture, travail
du bois etc.), et , si possible, en accompagnant également
leurs parents biologiques.
Du statut de fondation, DDA souhaite passer au statut de ONG,
afin de faciliter le financement et la relation avec les donateurs.
Par ailleurs, plutôt que 3 crèches disséminées
dans Port au Prince, Gina et Claude s’orientent vers un
lieu unique, à la périphérie de Port au
Prince, où toutes les activités seraient regroupées.
Nous avons pu visiter deux localités, l’une en
vallée, à Croix des Bouquets, à l’est
de Port au Prince et à proximité de l’aéroport,
et l’autre plus en altitude (900 m) vers Kenscoff (sud
de Port au Prince), sur des terrasses, et avec des températures
plus basses mais davantage de précipitations.
Les infrastructures pourraient loger 150 enfants, avec dispensaire
médicalisé, salles de classe et centre d’apprentissage
pour l’agriculture et le travail du bois.
L’ensemble serait construit sur un terrain de 2 à
3 ha, pour réserver une partie aux cultures maraîchères
et aux petits élevages (poules, canards, poissons Tilapia
etc.) afin de développer l’autosuffisance alimentaire
et de pouvoir l’appliquer dans les villages, via les ados
qui « repartent » ou les parents biologiques.
Gina et Claude resteront maîtres d’œuvre
de leur projet, avec notre assistance et notre accompagnement,
et nous leur avons proposé une construction en structure
bois, parasismique et paracyclonique, développé
par CAMAHA, une association à but humanitaire mise en
place par Pierre HERVE, basée à Cuba et dont un
chef de chantier est déjà installé en Haïti.
Il y a beaucoup à faire, et cela va s’étaler
dans le temps ; le peuple haïtien est positif,
serein et réaliste dans l’adversité qu’il
supporte depuis longtemps…il reste patient à
l’instar de ce proverbe haïtien « on ne compte
pas les œufs dans le ventre de la poule » |
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Les enfants de la crèche de Jacquet, sous
les tentes. |
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Merci et bravo à Gina
et Claude, pour tout ce qu’ils font en Haïti…. |
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Les samedi 27 et dimanche 28 septembre, le samedi 4 octobre 2014, les paroisses de MARCIAC, RISCLE et PLAISANCE accueillaient le Père Ambroise KOUTOUAN |
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Le Père Ambroise KOUTOUAN est né en Côte d'Ivoire. Agé de 56 ans, il est originaire d'une famille catholique comprenant cinq enfants. Il possède une grande soeur, des neveux, des nièces, des cousins et des amis vivant en France et en Europe. Après des années de pastorale estudiantine, d'études et de charge de curé de paroisse, le Père Ambroise part en France dans le cadre d'une coopération missionnaire. Accueilli à Lyon où il fait sa première rencontre avec Monseigneur Maurice GARDES, alors vicaire général, et après d'autres études et charges, il regagne la Côte d'Ivoire pendant huit années avant de venir dans le diocèse d'Auch. Merci de continuer la mission de l'Eglise dans le Secteur Rivière-Basse! |
Après la remise des clés et de l'étole par Mgr Gardès, le Père Ambroise a reçu l'Evangile, a renouvellé ses promesses de l'ordination, a revêtu la chasuble et a été conduit vers les lieux symboliques de sa charge: le baptistère, le confessionnal et le tabernacle. Les célébrations se sont poursuivies dans une excellente ambiance, en présence de membres de la famille d'Ambroise et de son oncle, député à la Côte d'Ivoire. |
(Cliquer sur les photos pour en savoir plus sur l'installation du Père Ambroise KOUTOUAN en Rivière-Basse) |
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La paroisse de PLAISANCE remercie l’abbé DE LARY
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Le dimanche 6 juillet, avait lieu une cérémonie en remerciement des trois années passées par l’Abbé Charles DE LARY à la paroisse Notre-Dame de PLAISANCE. En effet, le 1er septembre 2014, l’Abbé ayant l’âge requis pour partir en retraite, le Père Ambroise KOUTOUAN lui succèdera. De nombreuses personnes se sont rassemblées à 11 heures dans l’église pour une messe d’Action de grâces. Elle a commencé par un chant d’entrée et le mot d’accueil de Maïté GUYOT. Suivait une procession derrière la croix et plusieurs personnes qui portaient des signes et/ou des objets des différents services de la paroisse représentant la Parole et les équipes liturgiques, le service de la sacristie, le catéchisme et l’aumônerie, les familles, le service des funérailles, la musique et la chorale, les groupes de prières et la vie consacrée avec les religieuses de la Cité Saint Joseph qui fermaient la marche. Sylvie EPIVENT adressait ensuite un mot de remerciement à l’abbé DE LARY au nom de l’assemblée reconnaissante. Comme habituellement à PLAISANCE, la messe était animée avec la chorale paroissiale dirigée par Christian RASSIS et l’orgue |
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que jouait Jean-Luc SAMSON (Edith DE BORNE DE GRANDPRE était absente). Tout le monde se retrouvait ensuite devant l’entrée de l’église pour un apéritif au cours duquel l’abbé DE LARY en profitait pour présenter un prêtre indien étudiant qui venait l’aider au cours du mois de juillet. Ceux qui le souhaitaient pouvaient prolonger ce sympathique rassemblement par un repas effectué à la salle des fêtes où chacun pouvait amener un plat pour le partager ensemble. Une somme de 1500 euros était récoltée et donnée à l’abbé DE LARY. Un livre d’Or était mis à la disposition des paroissiens au fond de l’église jusqu'à la fin août pour que tous ceux qui le désirent adressent leurs remerciements au Père Charles DE LARY et lui témoignent leur profonde gratitude. (Pour avoir le texte des remerciements de la paroisse de Plaisance, CLIQUER ICI)
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L'accueil
du Père Thomas SAVARIMUTHU à l'occasion de la messe
du dimanche 31 octobre 2010 en l'église de RISCLE |
Le Père Thomas
SAVARIMUTHU est bien arrivé à RISCLE. Il a
été ordonné au mois de mai 1994 et
il a trois soeurs dont une religieuse en Italie. Il a laissé
en Inde ses parents qui sont âgés de 88 ans
et 92 ans. Les paroissiens de Saint Benoît de l'Adour
et de Leez lui ont souhaité la "BIENVENUE". |
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L'abbé
Charles FERRAN remplacé par Charles de LARY |
Déjà
curé de St Jacques des Côteaux d'Armagnac (AIGNAN),
l'abbé Charles FERRAN est nommé de plus curé
des paroisses de St Vincent du Catalan (NOGARO), Notre Dame
de la Gélise (EAUZE) et Notre Dame de la Douze et
du Midour (CAZAUBON). L'abbé Charles DE LARY, après
treize années passées à FLEURANCE,
le remplace sur les paroisses Saint Benoît de l'Adour
et du Leez (RISCLE) et Saint François du Pays de
MARCIAC à compter du 1er septembre 2010. |
Le
DIMANCHE 26 SEPTEMBRE à 11h dans l'église
Saint Pierre de RISCLE, Mgr
Maurice GARDES a installé l'abbé Charles De
LARY dans ses nouvelles fonctions de curé de la paroisse
de Saint Benoît de l'Adour et du Leez. |
De
nombreuses personnes de la paroisse de FLEURANCE sont venues
dire un dernier "Au revoir" à leur ancien
curé en participant à la messe de son installation
en l'église de RISCLE puis en partageant ensemble
le repas dans le presbytère. Les paroissiens de St
Benoît de l'Adour et du Leez sont venus nombreux l'accueillir
à la messe suivie du verre de l'amitié. |
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Le
DIMANCHE 5 SEPTEMBRE à 11h dans l'église ND
de l'Assomption de MARCIAC, Mgr
GARDES a installé l'abbé DE LARY dans
ses nouvelles fonctions de curé de la paroisse de
St François du Pays de MARCIAC |
Nombreuses
étaient les personnes venues accueillir l'abbé
Charles de LARY en l'église Notre Dame de l'Assomption
de MARCIAC, le nouveau curé de la paroisse Saint
François du Pays de MARCIAC. Un Charles succède
à un autre Charles... |
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Remise de l'étole et de la
clé à l'abbé de LARY |
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Remise de la chasuble par Mgr GARDES
à l'abbé de LARY |
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Messe célébrée
par Mgr Gardès avec les abbés de Lary,
Ferran, Ader et Kalinine |
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Les remerciements de l'abbé
Charles FERRAN |
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APPELE,
ENVOYE POUR SERVIR ! |
Depuis
le 1er septembre 2010 me voici envoyé comme
curé vers vous. A 71 ans, je prends mon bâton
de pélerin. J'arrive avec joie comme l'humble
pasteur qui veut se mettre à l'écoute,
aller vers tous. Je viens poursuivre le chemin tracé
et chercher à ouvrir des chemins nouveaux.
C'est bien ensemble et en Eglise que nous allons le
vivre. Tout, absolument tout dans l'Eglise doit rappeler
que ce que nous vivons, faisons et avons, nous vient
d'un autre. La mesure de ce rappel constant n'est
pas à chercher ailleurs que dans la fidèlité
à l'Evangile (dossier:vivre son baptême).
Préparons-nous aussi à accueillir un
prêtre qui vient de l'Inde. Avançons
confiant. (Abbé Charles de Lary) |
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DIMANCHE
29 AOÛT à 11h
MESSE d'ACTION de GRÂCE à RISCLE célébrée
par Charles FERRAN |
C'est
toujours émouvant de présider l'Eucharistie
paroissiale qui, comme son nom l'indique, rend gloire à
Dieu pour tous ses bienfaits. Ils ont été
nombreux pour moi durant ces six années passées
à votre service comme à celui des trois paroisses
dont j'étais curé. Soyez remerciés
pour votre participation, chacun dans sa fonction propre,
au sein de la mission de l'Eglise que nous avons à
vivre sur ce territoire de l'Adour et du Leez. Un merci
spécial aux frères de l'Abbaye Notre Dame
de Tournay qui par la prière et quelques rencontres
de ressourcement soutiennent votre vie paroissiale. La magnifique
statue de Saint Benoît que vous m'avez offerte dimanche
me rappellera ce lien "prière et action"
indispensable à l'Evangélisation. Merci enfin
à celles et ceux qui ont voulu me témoigner
matériellement leur estime et leur amitié.
Par ces quelques lignes, je voudrais vous exprimer ma sincère
reconnaissance et vous redire ma confiance en l'avenir de
l'Eglise auquel, grâce à l'Esprit Saint, nous
avons eu la chance de travailler ensemble. (Abbé
Charles Ferran) |
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Remerciements
de la communauté paroissiale de RISCLE : |
Charles, |
Vous
avez fait le Choix de suivre humblement le chemin
de Jésus Christ de lieu en lieu. Fidèle
à votre engagement, plein d’espérance
vous vous êtes adapté à chacun
avec respect. Ferme, mais charitable, inlassablement
vous nous avez accompagné au cœur des
épreuves et des joies dispensant les sacrements
de vie. Votre
regard et votre humour révèle ou restaure
les liens entre le Seigneur et les hommes. Par votre
écoute, votre accueil, vous réconcilier
les êtres. La
famille est pour vous un soutien et vous savez avec
attention vivre l’amitié. Votre
esprit de service vous rend disponible à
tous, à n’importe quel moment et nous
nous sentons épaulés, mais libre dans
la mission. L’Evangile
irrigue de son eau vivifiante vos homélies,
et votre sagesse les relie à la vie quotidienne.
Pour
tous ces dons reçus du Seigneur et partagés
avec simplicité à tous les paroissiens,
par
cette Eucharistie, nous chantons au Seigneur un
hymne de louange. Vous
êtes envoyé vers d’autres. Votre
foi et l’Esprit saint vous pousse encore vers
un horizon nouveau porter la bonne nouvelle de la
Résurrection; qu’il vous aide à
semer partout l’amour du Christ. Avec
Jean Claude, nous vous disons merci tout simplement
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Colette
et Jean-Claude |
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Photos de Jean PEFFAU et Maurice SERRES |
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Le Dimanche 20 janvier, BEAUMARCHES accueillait les 3 paroisses du Secteur Pastoral de la RIVIERE-BASSE (Riscle-Marciac-Plaisance). |
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Après les journées intergénérations organisées à SARRAGACHIES en 2011 et à MARCIAC en 2012, les paroissiens du secteur se sont réunis une nouvelle fois pour une journée d'Amitié et d'Unité pour tous. |
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Cette journée était ouverte à tous et chacun pouvait participer au moment qui lui convenait le plus auprès des Abbés Charles de LARY, André ADER et du Père LEONARD. La journée a commencé par un Accueil Café à la salle des fêtes de Beaumarchès. Ensuite ont été mis en oeuvre des ateliers, Chants et notamment Bible autour de la liturgie du jour qui faisait le récit des noces de Cana. A 11h, tout le monde se rassemblait dans l'église de Beaumarchès pour célébrer la Messe des Familles, seule messe pour toute la Rivière-Basse, animée musicalement par l'Harmonie d'Aignan-Plaisance dirigée par M. Labérou. |
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Les enfants, accompagnés des catéchistes Hélène et Maïté, ont participé à l'animation de la célébration. Un repas partagé avait ensuite lieu dans la salle des fêtes. L'après-midi était consacrée à des Chants, des Jeux, des Sketch et à des Témoignages. Le prêtre béninois LEONARD, récemment arrivé dans le diocèse et installé à Condom, a témoigné ainsi que trois Gersois qui ont participé à une mission au Bénin. Compte-tenu du vieillissement des prêtres, était abordé les solutions nécessaires à prendre... |
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Des solutions existent mais leur développement s'avèrent de plus en plus nécessaires : l'accueil de prêtres étrangers, la remise en valeur du diaconat, une plus grande participation des laïcs dans les diverses tâches, le rajeunissement des équipes d'animation, la responsabilisation des jeunes des aumôneries... |
Ce Dimanche Autrement s'achevait par un goûter. |
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"VIVRE
AUTREMENT, C'EST POSSIBLE ! COMMENT ?" |
Voici
le thème et l'affiche à diffuser largement à
tout le réseau de la Rivière-Basse!
Un
grand merci pour votre soutien et votre présence le
13 mai à 20h à la Salle du Mouzon à AUCH
!
Très
belles fêtes de PÂQUES!
Maryvonne
Ligeron (ACO et CMR)
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Le jeudi
23 septembre 2010,
Francis est allé à la RENCONTRE
INTERRELIGIEUSE ET PHILOSOPHIQUE qui
avait lieu à AUCH
à la Maison de Gascogne avec pour thème |
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L'intérêt
de cette rencontre était la présence
d'intervenants d'obédience spirituelle, politique
et philosophique et la juxtaposition sur un même
plateau de leurs conceptions de l'ESSENTIEL. |
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Etaient en effet représentés
(de gauche à droite),
l'Eglise Réformée du Gers, la Ligue de l'Enseignement
32, l'Union Bouddhiste de France, l'Eglise Evangélique
de Pentecôte du Gers, l'Archevêché d'Auch,
la Grande Loge Nationale Française et le Fond Social
Juif Unifié. En raison d'une grève nationale,
l'Imam BACCARI de l'Association Cultuelle des Musulmans
du Gers, en déplacement, a été dans
l'impossibilité de participer. |
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Devant
une Maison de Gascogne comble, la rencontre a été
introduite successivement par le pasteur Jean-Pierre LECLERC,
président de l'église réformée
du Gers, laquelle était à l'initiative de
cette soirée/débat, puis par le maire d'Auch,
Franck MONTAUGE. Ce dernier, dans son introduction, rappelait
à juste titre les valeurs laïques de la République:
Education, Liberté et Respect de l'Autre. Il était
bien précisé que le but de cette rencontre
n'était pas de faire du prosélytisme mais
de s'informer mutuellement et de définir des valeurs
communes pour un mieux vivre ensemble. |
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Pour le pasteur BERTRAND, la
Transmission est en crise car il y a rupture de la continuité
et l'Essentiel est compliqué par la pluralité
et la multiplicité des références ("Je
me sais précédé mais je transmets").
André BOUDOU distingue ce qui relève du Privé
et du Public. "L'Essentiel est de Transmettre l'Essentiel"
et pour lui, l'Essentiel réside dans les articles
Ier de la Constitution Française de 1958 et de la
Convention des Droits de l'Homme de 1789. Pour Françoise
CARTAU, "accéder au bonheur et éviter
la douleur" est l'Essentiel du Bouddhisme et il faut
d'abord transmettre à soi-même ce que l'on
veut transmettre à l'autre. Monseigneur GARDES constate
que le développement des techniques de communication
s'accompagne paradoxalement de celui de la Solitude. Il
faut donc veiller à ne pas oublier l'Homme dans tout
développement technologique. L'Essentiel pour lui
est Transmettre une grande Espérance, celle d'un
tombeau ouvert, celle de la résurrection du Christ.
Pour Jean-Pierre MAYEUX, l'Essentiel se trouve dans la recherche
du Sens de la Vie, d'une réponse entre Foi et Raison
car l'Homme ne naît pas du hasard. |
Du débat qui suivit,
Francis a retenu que l'Essentiel est de "mettre un
frein au désir de contrôler l'autre",
de défendre la Démocratie, la République,
la Diversité et la Responsabilité de l'individu,
mais aussi de ne pas éluder l'enseignement des Religions
à l'Ecole car "l'IGNORANCE génère
INTOLERANCE et INTEGRISME". Même si Francis reste
un peu sur sa faim en matière de définition
précise par les intervenants de VALEURS COMMUNES
et ESSENTIELLES à TRANSMETTRE, "l'Humain"
et le "Respect" semblaient rassembler tout le
monde ce soir-là. |
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Photo de Julie Crenn ( La Dépêche
du Midi du 16 septembre 2010 annonçant le débat) |
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